Un curieux jeune homme

Catégories : Hommes fessés
il y a 1 an

Un bien curieux jeune homme

Ce jeune homme me rend perplexe. Vautré dans le canapé, avec un brin d’insolence dans le regard, son attitude nonchalante bouleverse mes habitudes. En temps normal, le « gus » se serait déjà retrouvé en travers de mes genoux à regretter son comportement puéril. Mais, rendue curieuse par une telle outrecuidance, je ne réagis même pas. Je me demande jusqu'où il peut aller comme ça.

Alors qu’il est censé recevoir une punition méritée en regard de la liste des offenses qu’il a lui-même notées, Monsieur joue les désinvoltes et fait comme chez lui. C’est la première fois que je le rencontre et tout porte à croire que ce rendez-vous est le premier d’une longue série.

Nous continuons de faire connaissance, et, subrepticement, le garçon parvient à faire diversion. Nous parlons de tout et de rien et, sans que je m’en rende compte, une bonne demi heure s’écoule avant que je prenne conscience que la situation m’échappe. Le fourbe m'as branché sur mon travail… Trêve de galéjades, son comportement m’agace de plus en plus. Croit-il vraiment que je l’ai fait venir chez moi pour me contenter de bavarder comme le feraient deux amis ? Lors de ce retour de lucidité, je décide de reprendre la main. Sans ménagement, je reviens sur les raisons de sa présence chez moi et le rejoins sur le canapé. Subitement gêné, le bougre se redresse et son sourire provocateur disparaît. Tiens, tiens : il semblerait que la confiance de ce jeune coq s’effrite alors que je montre seulement un peu plus d’empressement. Profitant de mon ascendant, je lui demande de se lever. C’est un grand garçon de plus d’1m90 et je me sens en vérité assez petite, assise à côté de lui. J’ai bien fait de venir sur le canapé pour davantage de confort (pour moi…)

Puis je lui demande de baisser son pantalon. A ma surprise, M., ne rechigne pas et s’exécute mollement et avec maladresse. Voici que me font face deux longues jambes dénudées et un caleçon bleu. Ce doit déjà être assez humiliant pour lui. Mais bien sûr je n’en reste pas là et indique au bougre la position à adopter, position qu’il semble d’ailleurs parfaitement connaître. Le contraire m’eût étonnée. Curieusement, le mètre 90 n’est pas si encombrant à l’horizontal et voilà l’insolent parfaitement calé en travers de mes genoux. La punition peut commencer.

Après quelques claques d’échauffement sur les fesses fermement maintenues, je procède au déculottage. Après tout, il l’a bien cherché par ses incessantes provocations. C’est donc à cul nu que la fessée se poursuit. Je n’entends plus l’insolent qui garde la tête enfouie dans les coussins du canapé. Les claques s’enchaînent et les fesses de M. prennent une teinte rosée puis rouge, réactions qui forment en partie ma récompense.

Puis je fais relever mon puni et, alors que je cherche dans ses yeux une once de fierté, je constate que celle-ci a totalement disparu. Ravie par la tournure des événements, je lui intime l’ordre d’écrire le récit de sa punition en venant s’assoir fesses nues sur une chaise. Malgré ses nombreux défauts, je le sais à l’aise avec les mots et décide donc de profiter de la situation pour mon propre plaisir. Penaud, les pieds entravés par son pantalon, mon puni s’exécute. Je me retiens de sourire en le voyant marcher avec difficulté. Tombé de son piédestal, le jeune homme flirte avec le ridicule. Il manque de trébucher puis vient prendre place à la table de la cuisine où, sagement, il se met à écrire sans un bruit. Dehors, je fume ma cigarette en songeant à la suite... Que vais-je lui réserver maintenant ?

Chouette recit , continues !
Merci :)
Belle mise en bouche
Oui... Qu'est-ce qu'elle lui a réservé ?
Je vous laisse l'imaginer :)
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